mardi 27 juillet 2010

Chalon dans la rue : Un festival qui laisse des traces

Quand je me suis réveillé hier matin, il y avait des cernes sous mes yeux. Des ombres qui témoignent de cinq jours de fêtes et de performances à même le bitume. Les seules choses qui n’ont pas été nettoyées par les balayeuses sont des souvenirs, plein la tête, des moments magiques à tous les coins de rue.

Quoique…

Chalon dans la rue, c’est aussi le moment des urgences. Il y a bien sûr la Croix-Rouge, les pompiers, la police, qui ont été fortement mobilisés pour s’occuper des petits bobos et de ceux qui abusent un peu trop de la boisson. Mais les urgences dont je veux parler sont tout autres. Il y a des envies qui ne se contrôlent pas trop. Des besoins physiologiques imprescriptibles. Malheureusement, les WC publics mis à disposition des festivaliers n’ont pas eu l’air de plaire, puisque certains ont laissé leurs traces à des endroits peu recommandables. Avec eux, on va droit dans le mur.

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